Après des études en génétique et un doctorat en biologie statistique, Max Cooper se lance dans la production en 2007, parallèlement à des DJ sets hip-hop puis techno.
Il décide en 2011 de se consacrer plus au live ainsi qu’à ses propres productions et met le DJing entre parenthèses; offrant ainsi une autre interprétation et une vision plus personnelle de sa musique. Marquées par la science, ses compositions ont reçu un accueil mitigé au départ, puis du respect.
En 2014, il dévoile Human (Fields Rec.), plus savant que jamais. L’electronica à l’état pur. N’étant lui-même pas inspiré par la techno, mais plus par Jon Hopkins ou Ólafur Arnalds, ce LP intelligemment agencé, clairement plus ambient et pointu, donne un nouveau souffle au genre (pas que celui-ci ne tarisse, loin de là). Dans la foulée, l’EP Kindred est présenté, avec des remixes de David August et Throwing Snow de Origins, sublime purification auditive.
[soundcloud url= »https://api.soundcloud.com/playlists/62348723″ params= »color=505050&auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false » width= »100% » height= »300″ iframe= »true » /]
Des nouvelles du Dr. Cooper annonçaient il y a une quinzaine de jours un aboutissement en chemin, pour le 20 Avril. Présentée sous le nom d’Artefact, l’expérience propose un aperçu de son issue : la première partie est disponible exclusivement en téléchargement gratuit. Le flux et le reflux du piano, des battements d’ailes, des bourdonnements, enregistrés lors d’une sortie de Mexico.
[soundcloud url= »https://api.soundcloud.com/tracks/191927816″ params= »color=505050&auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false » width= »100% » height= »150″ iframe= »true » /]
Et comme ce n’est jamais assez : un projet audiovisuel concocté pour le live, Emergence, verra le jour le 24 Avril au Yoyo (Paris) pour la première fois, dans le cadre d’une tournée inédite du même nom.
